Échomaton Du chant du cygne, 2022.
Installation participative, MAADI (Musée d'art actuel_ département des invisibles), MBAM
Acte de résistance à la solitude, l'isolement, la tristesse et l'anxiété, l'Échomaton Du chant du cygne célèbre la poésie de l'ordinaire dans ce "repli domestique" qui nous a tous relié pendant la pandémie du Coronavirus grâce à l'écho médiatique du monde. Entre Photomaton et espace domestique, la cabine rouge invite les visiteurs à filmer une danse improvisée selon un protocole performatif développé et mis en pratique par l'artiste pendant le confinement de la pandémie du Coronavirus puis à écrire et dessiner sur les murs en réaction au manifeste Du chant du cygne.
Sur les mur extérieurs à l'entrée de l'Échomaton un écran diffuse un corpus de 133 courtes vidéos de vidéos-performances de même qu'une sélection de 36 autoportraits réalisés par José Dupuis pendant la pandémie.
Du chant du cygne est un clin d'oeil au texte phare "Duchamp du signe" de Marcel Duchamp et indique l'influence du surréalisme et du dadaïsme sur la pratique de Dupuis. Cette filiation, représentée sur les murs intérieurs de l'Échomaton, se déploie sous la forme d'une arborescence poétique composée de mots, d'images et d'objets reliés par des lignes de couleurs.

échomaton du chant du cygne_2022_installation_7'6" x 8' x 6' ©denis farley_mbam

Galerie d'autoportraits_égoportraits_échopotraits, 2022. Impression sur acrylique sur le mur latéral extérieur de l'échomaton. Dimension 48po x 60po.

échomaton du chant du cygne_2022_vue frontale de l'installation_7'6" x 8' x 6' ©denis farley_mbam

Rideau, porte d'entrée de l'Échomaton, 2022. Impression sur tissu d'un autoportrait tiré de la série.

échomaton du chant du cygne_2022_vue partielle intérieure de la cabine ©denis farley_mbam


échomaton du chant du cygne_2022_vue partielle mur latéral intérieur avec dessins des visiteurs©Pierre Charron
